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Dialogue politique et la réticence certains leaders politiques : Ousmane Gaoual Diallo explique les raisons

Le porte-parole du gouvernement de la transition, Ousmane Gaoual Diallo était ce mercredi 12 octobre 2022 l’invité d’Espace TV. Au cours des débats, le ministre porte-parole du gouvernement a d’abord expliqué les critères qui ont conduit au choix des personnes récemment nommées par le premier ministre pour servir de facilitatrices. « Ces facilitatrices ont été choisies en fonction de leur parcours et de leur probité morale ».

Pour Ousmane Gaoual Diallo : « Le gros problème, ce sont les poursuites judiciaires. Ils ne veulent pas le dire publiquement. Ce sont les poursuites judiciaires qui créent le blocage de leur participation à ce dialogue. L’autre aspect, c’est le manque de sincérité ».

Il rappelle  que dès le début, la volonté du gouvernement et celle du CNRD ont été exprimées pour mettre autour de la table tous les acteurs politiques et ceux de la société civile pour trouver des solutions alternatives pour permettre à la Guinée d’avancer. «  Nous avons estimé qu’un cadre de concertation était l’espace idéal pour faire cette rencontre. Cela n’a pas plus à certains partis politiques qui ont tout de suite essayé de jouer sur la sémantique en opposant le dialogue à la concertation. Moi, je ne connais pas en réalité qu’elle est la différence. Qu’on se concerte, qu’on dialogue, si on se retrouve autour de la table, la finalité c’est de trouver un consensus pour avancer », a-t-il souligné.

Parlant de la récente sortie d’un membre de l’opposition, en l’occurrence Dr Fodé Oussou Fofana (UFDG), le ministre porte-parole du gouvernement ne tergiverse pas. Pour lui ‘’ Le dialogue est mené par une entité qui est l’État’’:

« Dans la déclaration de Dr Fodé Oussou Fofana, il semble revendiquer une gouvernance collégiale. Ce qui veut dire une prise de décision collégiale, chose qui ne marche pas. Le dialogue est mené par une entité qui est l’État. Sous le régime défunt, ce n’est pas les décisions collégiales qui créaient les cadres de dialogue »

Pour Ousmane Gaoual Diallo : « Le gros problème, ce sont les poursuites judiciaires. Ils ne veulent pas le dire publiquement. Ce sont les poursuites judiciaires qui créent le blocage de leur participation à ce dialogue. L’autre aspect, c’est le manque de sincérité ».

Il rappelle  que dès le début, la volonté du gouvernement et celle du CNRD ont été exprimées pour mettre autour de la table tous les acteurs politiques et ceux de la société civile pour trouver des solutions alternatives pour permettre à la Guinée d’avancer. «  Nous avons estimé qu’un cadre de concertation était l’espace idéal pour faire cette rencontre. Cela n’a pas plus à certains partis politiques qui ont tout de suite essayé de jouer sur la sémantique en opposant le dialogue à la concertation. Moi, je ne connais pas en réalité qu’elle est la différence. Qu’on se concerte, qu’on dialogue, si on se retrouve autour de la table, la finalité c’est de trouver un consensus pour avancer », a-t-il souligné.

Parlant de la récente sortie d’un membre de l’opposition, en l’occurrence Dr Fodé Oussou Fofana (UFDG), le ministre porte-parole du gouvernement ne tergiverse pas. Pour lui ‘’ Le dialogue est mené par une entité qui est l’État’’:

« Dans la déclaration de Dr Fodé Oussou Fofana, il semble revendiquer une gouvernance collégiale. Ce qui veut dire une prise de décision collégiale, chose qui ne marche pas. Le dialogue est mené par une entité qui est l’État. Sous le régime défunt, ce n’est pas les décisions collégiales qui créaient les cadres de dialogue »

Amadou Makissa Diallo

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